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Luttons contre la précarité menstruelle – 50 protections périodiques lavables

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Vous êtes une organisation qui lutte contre la précarité menstruelle ? Et si vous achetiez en gros : des lavables !

“32% des répondants utilisent des protections lavables, mais 68% d’entre elles et eux déclarent ne pas en avoir suffisamment pour une raison financière. 23% n’en possèdent aucune car le budget s’avère trop élevé et 13% car cela serait trop compliqué à entretenir.” D’après le HuffPost Life.

Alors nous avons pensé que ce lot de 50 protections périodiques lavables (à prix fournisseur) pourrait intéresser une organisation 😉

Commande sécurisée

Les lavables sont une alternative écologique et économique à long terme. Nous souhaitons aider à ce que les personnes qui ne peuvent pas acheter de protections périodiques ne soient plus en manque !

Les protections périodiques lavables ont une durée de vie de 5 ans.

L’investissement de l’achat de protections périodiques lavables est plus important mais la durée d’utilisation permet de rentabiliser cet investissement. Vous économiserez une centaines d’euros.

Composés de coton Bio et de viscose de bambou (certifiée Oeko-tex) pour l’absorption, elles sont étanches, et facilement lavables.

Voici la composition exact :

  • Viscose de bambou 
  • PUL (imperméable respirant) *
  • Tissu 100% coton Biologique ** 
  • Bouton pression en résine végétale *

* certifié Oeko-Tex®: garantit l’absence de substances nocives dans le textile

** certifié GOTS®: garantit la dimension écologique et éco-responsable du textile

made in France100 % fabriquée en France !

  • Nos protections périodiques lavables sont fabriquées dans un atelier de couture au sein d’un ESAT de travailleurs en situation de handicap dans les Yvelines (78) et à Paris (75).
  • Le tissu utilisé est imprimé près de Lyon avec des encres à base d’eau.

 

Selon le HuffPost Life :

“En France, 1,7 million de personnes, dont bon nombre d’étudiantes, n’ont pas ou peu accès aux protections périodiques lorsqu’elles ont leur règles.

Un tiers (33%) des étudiants estiment avoir besoin d’une aide financière pour se procurer des protections périodiques. C’est le résultat d’une étude menée par trois associations auprès de 6518 étudiants en France.

Selon cette enquête, 13% des répondants déclarent avoir déjà dû choisir entre des protections et un autre objet de première nécessité qu’ils n’ont pu acheter ou bien dont ils ont dû se passer afin de pouvoir s’offrir des serviettes, des tampons ou bien des coupes menstruelles.

7% des étudiants interrogés se savent et se disent eux-mêmes en précarité menstruelle. Toujours selon cette étude, “1 étudiant menstrué sur 10 fabrique lui-même ses protections et 1 sur 20 utilise du papier toilette.”

La précarité prédispose au choc toxique

La pauvreté augmente l’inconfort et, surtout, fait prendre des risques graves. En effet, conserver sur soi une protection périodique trop longtemps, pour en utiliser le moins possible, notamment les tampons et les coupes menstruelles, peut mener au syndrome du choc toxique.

En effet, ces protections engendrent une stagnation du sang dans le vagin. L’environnement est alors très favorable à la multiplication d’une bactérie de la famille des staphylocoques dorés, qui va sécréter une toxine se diffusant dans le sang, s’attaquer à nos organes (foie, reins, poumons, etc.) et dans les cas les plus extrêmes, engendrer un dysfonctionnement des organes, entraînant un coma, voire un décès.”

En moyenne, il faut savoir que la “dépense pour les protections se situe entre 5 et 10 euros par mois pour 46% des étudiants. Pour la moitié des étudiants viennent s’ajouter d’autres dépenses (médicaments antidouleurs, achat de vêtements, sous-vêtements, literies), allant jusqu’à plus de 20 euros par mois”.

“La précarité menstruelle ne se limite pas qu’à la période de saignement, le syndrome pré-menstruel (SPM) engendre aussi des coûts. C’est l’ensemble des symptômes que l’on peut voir apparaître avant les menstruations, il se termine spontanément avec le début des règles ou dans les quelques jours qui suivent.”

 

Vers le lavable?

Ainsi, “32% des répondants utilisent des protections lavables, mais 68% d’entre elles et eux déclarent ne pas en avoir suffisamment pour une raison financière. 23% n’en possèdent aucune car le budget s’avère trop élevé et 13% car cela serait trop compliqué à entretenir.”

Alors nous avons pensé que ce lot de 50 protections périodiques lavables (à prix fournisseur) pourrait intéresser une organisation 😉

Les conseils de la Tribu :

  • Entretien : lavable jusqu’à 60°C.
  • Durée d’utilisation : 4 heures en moyenne selon votre flux.
  • Voici quelques solutions écologiques pour la détacher : utilisez le savon au fiel ou laissez tremper le textile dans un bol d’eau chaude avec un peu de percarbonate de soude.
  • Nos protections périodiques lavables coton bio sont également disponibles à l’unité sur notre site. 
  • Elle peut durer 5 années.

 Mode d’emploi des protections périodiques lavables.

© Dessins et modèles déposés auprès de l’INPI.
Images non contractuelles, les motifs ne sont pas exactement au même endroit sur le produit en fonction de la découpe du tissu.

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